craven a écrit :
Ragot15 a écrit :
Si le traqueur, alors que la fin de battue n'a pas été sonnée, est en possession de la centrale de repérage dans sa poche. L'agent (ONCFS) peut il sanctionner dans ces 2 cas :
- si centrale éteinte
- si centrale allumée mais pas de constat d'utilisation
Quels sont alors les risques ?
Peut etre que l'assistance juridique a déjà travaillé sur cette question ? ou que des jurisprudences existent ?
Bonne journée
nb : la question vaut aussi pour la chasse en individuelle (lièvre, ...)
Si la centrale est éteinte, aucun risque. Par contre si elle est allumée et même si elle n'est pas en cours d'utilisation, il y a infraction du type "chasse avec appareil électronique non autorisé". Je précise que ceci est valable pour tous les types de centrale de repérage.
Un nouveau problème se présente avec les utilisateurs de certains systèmes du type Géonimo ou Géopointer qui fonctionnent avec un téléphone portable. Je ne vois pas comment un agent de l'ONCFS va pouvoir demander et vérifier auprès d'un utilisateur, que l'application est active ou non. Il y a donc de fait une inégalité dans le traitement des différents utilisateurs.
En ce qui concerne la chasse du lièvre, je ne crois pas que l'utilisation de colliers de repérage soit autorisée.
Ceci étant dit, ce que je vais déclarer maintenant ne va pas me créer que des amis.
Je commence à en avoir ras le cul de tous ces "piqueurs.qui dévoient l'utilisation de ces appareils pour venir couper devant les chiens et tirer sur les lignes de fuite où se trouvent les postiers. J'en viens parfois à souhaiter qu'un d'entre eux se fasse gauler et "prenne grave" pour que ces manèges cessent enfin. J'en connais même qui chassent en tandem: un qui va au ferme et l'autre qui se place pour tirer si le sanglier se décale.
Je sais que je vais provoquer un tollé général et que l'argument "sauver les chiens" va m'être servi à de nombreuses reprises, mais je persiste et je signe.
Pour certains, ils en sont même à invoquer la nécessité de tuer plus de sanglier (et donc d'utiliser des moyens illégaux et de plus contraires à l'éthique) pour répondre aux sollicitations de leur fédé.
Avant que le service juridique ne se penche sur le problème (comme tu le suggères), je préférerais et de loin qu'un hypothétique "service éthique " se prononce.
Ardent défenseur de tous ces systèmes de repérage qui facilitent la récupération des chiens en fin de battue, je fulmine contre ces pratiques délictueuses et non respectueuses pour le gibier et les postés.
Ouf! Franchement ça fait parfois du bien de relâcher la pression.
craven a écrit :
Ragot15 a écrit :
Si le traqueur, alors que la fin de battue n'a pas été sonnée, est en possession de la centrale de repérage dans sa poche. L'agent (ONCFS) peut il sanctionner dans ces 2 cas :
- si centrale éteinte
- si centrale allumée mais pas de constat d'utilisation
Quels sont alors les risques ?
Peut etre que l'assistance juridique a déjà travaillé sur cette question ? ou que des jurisprudences existent ?
Bonne journée
nb : la question vaut aussi pour la chasse en individuelle (lièvre, ...)
Si la centrale est éteinte, aucun risque. Par contre si elle est allumée et même si elle n'est pas en cours d'utilisation, il y a infraction du type "chasse avec appareil électronique non autorisé". Je précise que ceci est valable pour tous les types de centrale de repérage.
Un nouveau problème se présente avec les utilisateurs de certains systèmes du type Géonimo ou Géopointer qui fonctionnent avec un téléphone portable. Je ne vois pas comment un agent de l'ONCFS va pouvoir demander et vérifier auprès d'un utilisateur, que l'application est active ou non. Il y a donc de fait une inégalité dans le traitement des différents utilisateurs.
En ce qui concerne la chasse du lièvre, je ne crois pas que l'utilisation de colliers de repérage soit autorisée.
Ceci étant dit, ce que je vais déclarer maintenant ne va pas me créer que des amis.
Je commence à en avoir ras le cul de tous ces "piqueurs"
qui dévoient l'utilisation de ces appareils pour venir couper devant les chiens et tirer sur les lignes de fuite où se trouvent les postiers. J'en viens parfois à souhaiter qu'un d'entre eux se fasse gauler et "prenne grave" pour que ces manèges cessent enfin. J'en connais même qui chassent en tandem: un qui va au ferme et l'autre qui se place pour tirer si le sanglier se décale.
Je sais que je vais provoquer un tollé général et que l'argument "sauver les chiens" va m'être servi à de nombreuses reprises, mais je persiste et je signe.
Pour certains, ils en sont même à invoquer la nécessité de tuer plus de sanglier (et donc d'utiliser des moyens illégaux et de plus contraires à l'éthique) pour répondre aux sollicitations de leur fédé.
Avant que le service juridique ne se penche sur le problème (comme tu le suggères), je préférerais et de loin qu'un hypothétique "service éthique " se prononce.
Ardent défenseur de tous ces systèmes de repérage qui facilitent la récupération des chiens en fin de battue, je fulmine contre ces pratiques délictueuses et non respectueuses pour le gibier et les postés.
Ouf! Franchement ça fait parfois du bien de relâcher la pression.
+1000000
On se tire une balle dans le pied... et on se croit malin a essayer d etre plus futés que les fédéraux. ?.
Par contre la vrai question est de savoir comment ca se passe avec les colliers de dressage / reperage comme alpha 100 ou tek dressage???
est ce que le fait d avoir le dressage sur le meme collier nous autorise a l utilisation de la centrale...