Chien-Courant.com

Forum de discussion dédié à la chasse aux chiens courants

Je suis d'accord avec Daniel : 800 € , ce prix est assez Elitiste et ferme la porte à de nombreux modestes chasseurs qui n'ont que leur Passion comme richesse

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Enfin 800Eu pour 1000Ha on est quand même loin de 1000Eu pour 250Ha.......

800Eu pour une chasse de plus de 1000Ha dans le 21, avec le prix des ''baux-ONF'' tu trouve cela cher Daniel??? Toi qui est du Nord de la Cote d'Or, tu connait bien les prix pratiquer!

tu voit tes ''traits d'humour'' donne au ''charognards'', qui n'attende que cela, l'occasion de s'exprimer...

Quand a Piquavant, tu parle de ce que tu ne connait pas, alors garde tes réflexions pour toi, car si tu connaissait un peut le secteur, tu verrait que cela est loin d'être élitiste et qu'au contraire on est bien en dessous des prix pratiquer!

Même dans des chasses communale on arrive souvent a ce niveau, alors que nous somme sous licence ONF!

Comment tu peut dire que 800Eu s'est élitiste alors que tu ne sait pas combien le bois est louer et combien d'actionnaire on a!

J'anticipe, tu va me parler de ta carte de société de chasse communale du ''Sud de la France'' ou tu paye 25Eu pour chasser sur 5000Ha, Je te répond, compare ce qui est comparable!

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Plus je connais l'être humain et plus j'aime mes chiens
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Explique voir au brave homme qui a surenchéri sur ''ta blague'', quel sons les prix pratiquer dans le 21, et par conséquent pourquoi son intervention est débile, moi j'ai plus la patience, de me justifier sans arrêt sur ce forum...

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Lu dans le progrès de l'Ain ce matin lundi 16 mai 2011.



Si les chasseurs ont multiplié leurs efforts pour limiter la prolifération des sangliers, le cochon reste leur bête noire. L’animal a causé plus de 200 000 euros de dégâts supplémentaires par rapport à l’an passé






Le coût de la saison de chasse au cœur des préoccupations.
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Où trouver l'argent pour payer les dégâts ?









Dans l’Ain, le chasseur et le sanglier, c’est une drôle d’histoire d’amour. Un peu du « je t’aime moi non plus ». Sûr que, sans la bête noire, on sortirait beaucoup moins de fusils dans l’Ain.

Mais là, elle exagère, et lors de l’assemblée générale (lire par ailleurs), ce « cochon » a rappelé qu’il pouvait coûter très cher. Et, cette année, le cours de son kilo a flambé.

Car l’animal fait des dégâts et même de gros dégâts aux cultures. Ainsi, cette année, ils ont coûté quelque 820 000 euros contre 600 000 l’année précédente. Or, il s’agisssait déjà d’une année record.

Pourtant, tout a été fait pour limiter la présence des sangliers et jamais autant de bêtes n’avaient été tirées (voir notre infographie).

La fédération de chasse n’avait pas le choix - la revente du château de Rosy, n’ayant été qu’une blague mal interprétée - pour boucler la somme, il lui fallait puiser dans la gibecière des chasseurs. Le bracelet grand gibier est donc passé de 27 à 28 euros, celui du sanglier de 27 à 30. Pas suffisant.

Du coup, la fédération a mis en place une dîme à payer pour les sociétés, calculée en fonction des animaux abattus chaque année depuis trois ans. Avec un maximum de 900 euros pour celles ayant prélevé 90 sangliers.

Si à l’Est de la rivière d’Ain, peu y échapperont, en revanche, en Bresse ou dans le val de Saône, les tireurs de lièvres ou de bécasses n’auront pas grand-chose à débourser.

Évidemment, les chasseurs des 1 100 sociétés qui étaient au courant des choix de la fédération ont parfois fait la truffe. Normal. Même s’ils s’y attendaient et peut-être même à pire.

Maintenant, comme les responsables de la fédération, ils espèrent que la dynamique pour limiter le cochon est prise et que les efforts réalisés cette année pour le réguler vont porter leurs fruits. Ils se disent aussi qu’il y a eu des prises de conscience pour ne plus faire n’importe quoi avec l’agrainage, au risque de le payer très cher quelques années plus tard. Et le directeur de la fédération Daniel Rousset, ainsi que le président Joanny Griffon de se monter optimistes avec la nouvelle possibilité de tirer le sanglier en juin et le prochain schéma départemental de gestion cygénétique qui devraient au moins enrayer cette flambée financière. Tout le monde l’espère en tous les cas.

Reste que les chasseurs, qui aimeraient aussi - en secret - quelques efforts des agriculteurs pour mieux protéger leurs productions, restent vigilants. Les parcs naturels, les réserves ou encore les projets Natura 2000 sont autant de secteurs où contrôler le sanglier est quasiment impossible.
Olivier Leroy

Putain je viens de prendre connaissance de ce qu'il arrive ailleurs, j'en ai les soies toutes hérissées, et là je me dit que dans le grand sud on est ( pour le moment) drôlement bien. C'est comme cela que l'on génère des braconniers, car quand celui qui à la PASSION de la chasse ne peut plus payer, il continu d'assouvir sa passion mais en marge de la loi
Oh bicou t'à pété le boulard
A prestu